Le print est loin d’avoir dit son dernier mot. Il refait la Une parmi les outils de communication à disposition. Un retour en grâce que l’imprimé doit à des arguments bien typés :
- Il crée une relation directe entre émetteur/éditeur et lecteur ;
- Il laisse une empreinte mémorielle plus importante ;
- Il encourage une reprise en main ;
- Il suscite plus d’intérêt que le flot des mails et newsletter ;
- Il fait appel au temps long de la lecture, de l’attention et émerge de l’infobésité ;
- Il a un impact environnemental relatif vs. les consommations d’énergie et de ressources des écrans et serveurs du digital ;
- Il libère un potentiel créatif, notamment rédactionnel, de tout premier plan ;
- Il constitue un média valorisant pour le lecteur à qui il est adressé ;
- Il reste indispensable pour les documents de référence.
Pour déployer ces atouts, l’imprimé doit s’adapter à ses cibles, répondre à bon timing de diffusion/lecture et s’inscrire dans une stratégie éditoriale globale. Bref, le print, c’est bien à plus d’un titre !