Communication soft pour slow tourisme

La crise mondiale du Covid a rebattu les cartes touristiques. Le vélo, la marche, les grands espaces, les villages font partie des options piochées par les vacanciers fraîchement déconfinés. Et c’est une bonne nouvelle ! Cela permet le développement de services et d’activités de tourisme moins impactants pour l’environnement et les écosystèmes locaux, plus riches en expériences, plus justes pour l’équilibre des territoires.

Des contenus éditoriaux qui marchent

Quand il s’agit de communiquer sur ces destinations, services ou activités, les messages et publications se mettent à l’unisson. Pas d’annonces tapageuses mais des prises de parole tapant juste. Pas de fanfaronnades mais d’harmonieux messages. Le risque ? Que tout se ressemble. Il est donc plus que jamais indispensable de s’appuyer sur de vraies pertinences et sur des plates-formes de marque clairement identifiées, en déroulant une ligne éditoriale adaptée.

Un exemple : les séjours en itinérance sur le GR34, mis en avant sur tourismebretagne.com

Retour à la ligne

Vous avez noté cette tendance créative (dans laquelle je m’inscris volontiers) qui transforme les messages publicitaires en sobres courriers ou austères communiqués ? Leclerc, Intermarché, Monoprix, Mac Do,… s’y sont mis. Comble d’ironie, ils mettent le pied (de lettre) dans un genre souvent pratiqué par les Petits Frères des Pauvres, AIDES et autres organismes caritatifs ou assos militantes. Ce style épuré, direct, a plusieurs avantages :

  • Il s’adresse à la raison, sans séduction détournant l’attention ;
  • C’est rapide à produire (je n’ai pas dit « à concevoir ») ;
  • C’est économique à produire et souvent à diffuser ;
  • A partir du moment où la lecture commence, l’implication est plus grande ;
  • Ce type de messages correspond littéralement à une prise de parole. Il peut signifier un engagement, voire surligner un caractère militant ;
  • Au milieu du flot d’images, c’est impactant, interpellant ;
  • Cela peut être graphiquement intéressant.
Crise de sens

Les messages écrits sont donc particulièrement adaptés dans des situations de crise. Logique donc qu’ils se multiplient en 2020. Ils sont également le signe, plutôt positif, d’une volonté affirmée de redonner du sens à la communication, d’exprimer la raison d’être, voire l’engagement des marques. Mais attention, l’opportunisme n’est jamais loin !

La facilitation : une réponse simple pour des situations complexes

Pas (vraiment) besoin de savoir dessiner pour tracer de nouvelles perspectives avec la facilitation graphique ! Il faut avant tout une vision globale du problème et du contexte, un point de vue sur les solutions possibles et une conceptualisation de la réponse. C’est un très bon moyen pour expliquer, convaincre et fédérer, notamment en interne. Par son côté schématique, voire « croqué », il s’adresse à tous. Il s’adapte facilement à des ateliers de réflexion collective.
Transformée en infographie (avec de jolis dessins), la facilitation graphique est un outil privilégié dans les messages institutionnels destinés à modifier des usages. Exemples : les gestes barrières, la gestion des déchets, l’usage partagé de la route…

 

Le papier fait de la résistance

Le print est loin d’avoir dit son dernier mot. Il refait la Une parmi les outils de communication à disposition. Un retour en grâce que l’imprimé doit à des arguments bien typés :

  • Il crée une relation directe entre émetteur/éditeur et lecteur ;
  • Il laisse une empreinte mémorielle plus importante ;
  • Il encourage une reprise en main ;
  • Il suscite plus d’intérêt que le flot des mails et newsletter ;
  • Il fait appel au temps long de la lecture, de l’attention et émerge de l’infobésité ;
  • Il a un impact environnemental relatif vs. les consommations d’énergie et de ressources des écrans et serveurs du digital ;
  • Il libère un potentiel créatif, notamment rédactionnel, de tout premier plan ;
  • Il constitue un média valorisant pour le lecteur à qui il est adressé ;
  • Il reste indispensable pour les documents de référence.

Pour déployer ces atouts, l’imprimé doit s’adapter à ses cibles, répondre à bon timing de diffusion/lecture et s’inscrire dans une stratégie éditoriale globale. Bref, le print, c’est bien à plus d’un titre !

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Une édition publicitaire ET durable, c’est possible

IMG_2124Pourquoi faire du jetable quand on peut faire du durable ? C’est le cas avec des éditions papier qui respectent certains critères, sur la forme et dans le fond :

• Utilisation de papier recyclé et encrage raisonné ;

• Bonne tenue en main de l’ouvrage ;

• Facilité de lecture ;

• Un très grand soin apporté au design et à la direction artistique ;

• Une ligne éditoriale attractive, hors des sentiers rebattus de la vente de produits ou de services ;

• Plusieurs entrées et plusieurs niveaux de lecture ;

• Un style empathique, créant relation avec les lecteurs ;

• Complicité et pertinence dans l’écriture ;

• Cohérence du style, du lectorat et des thèmes ;

• Rythme de lecture facilitant prise et reprise en main ;

• Bon timing dans la parution et la diffusion.

Bref, tout ce qui correspond au cahier de vacances créé pour hoomy, en collaboration avec Colette & Co ! Et également tout pour bâtir une image qualitative, renforcer la confiance des lecteurs et favoriser l’adhésion du public !

Le print fait (toujours) bonne impression

Toute la communication est dématérialisée ? Non, l’édition papier résiste toujours et encore. Elle fait même figure d’irréductible dans certaines actions.

Pour les ouvrages de référence :

Quand il s’agit de consulter régulièrement des infos, de vérifier des données, de se renseigner sur des produits, de les comparer, le papier s’avère plus facile à manipuler. Les catalogues, les rapports d’activité, les guides, les chartes et les programmes ont ainsi de bonnes raisons d’être imprimés. Ce choix se montre pertinent puisque que des études convergent pour dire que les documents sur papier recyclé, consultés pendant un minimum de 20 min., ont moins d’impact sur l’environnement que leur version numérique. Car la dématérialisation, c’est aussi de la mobilisation de mémoire informatique, des connexions, des téléchargements, de la mobilisation de serveurs, de réseaux, des manipulations d’écrans…

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Pris et repris en main, un guide sur les réalisations bois

Pour diffuser une image de qualité :

Sur papier, une belle image et un beau design sont optimisés, longtemps regardés, voire exposés. Ils valorisent aussi les lecteurs. Dans des secteurs haut de gamme, dans certaines niches tendance, les plaquettes de présentation, les livrets corporate, les invitations, les PLV ont tout intérêt à passer sous l’encre.  A condition de bénéficier d’une impression de qualité.

plaquette bois
Avec un design qui se démarque, un ton volontaire, un papier à fort grammage et texturé, la plaquette du bois français joue la qualité

Pour une communication de proximité

Les artisans, les commerçants, ceux qui proposent des services à la personne ont besoin de rapidement se faire connaître sur leur zone de chalandise. Les flyers, les affiches, les cartes de visite (qui peuvent aussi être des cartes publicitaires) demeurent de puissants outils pour développer la notoriété des entreprises, alerter sur un service ou une cause. Mais seulement s’ils font preuve de créativité ou s’ils sont impactants.

Bien vu, bien lu : dans un plan de com’, le print est toujours à la page.

carte postale publicaitaire
Lutte contre l’hyperalcoolisation – Au plus près des consommateurs

 

Ecrire pour le web : un exercice tout en nuances de Grrrr !

ecran moteur de recherche redaction
Plaire à Google et à son public, un challenge permanent

La rédaction web, pour plaire aux lecteurs comme aux moteurs de recherche, demande de respecter certaines règles, parfois contradictoires. S’il est parfois énervant, c’est un exercice de style toujours intéressant !

  • Avoir un contenu de qualité
  • Faire court tout en ayant assez de volume, de l’ordre de 300 à 500 mots par page
  • Apporter une information, développer une idée par (court) paragraphe
  • Définir un titre et des inter-titres explicites, intégrant les mots-clés
  • Intégrer des liens et des call-to-action dans les textes
  • Soigner le chapeau, pour qu’il donne l’essentiel de l’info ou qu’il incite à poursuivre la lecture
  • Permettre une lecture rapide, en « diagonale »
  • Légender et titrer les photos
  • Veiller à ce que les textes soient uniques
  • Apporter régulièrement du nouveau contenu au site
  • Avoir un style rédactionnel en cohérence avec l’image et le positionnement de la marque

Bref, tout est une question d’équilibre entre la créativité et la logique, le style et la technique.

De belles collaborations

partenariat pour projet de communication
Des compétences multiples pour rendre chaque projet unique !

Le travail de rédaction, c’est généralement en compagnie de quelques tasses de thé, de feuilles blanches et d’un écran. Mais dans la grande majorité des cas, les projets émergent d’un travail d’équipe, avec de vrais talents ! Les plaquettes, les annonces ou les contenus numériques profitent de collaborations souples et agiles établies avec des services communication, des agences ou des studios de création. Pour du ping-pong créatif et des rebonds marketing, des partenariats réguliers sont établis avec :

Art’Up : un studio qui place la création à un haut niveau.

Augural Stratéo : des stratèges sachant chasser du côté de la disruption.

Bord à Bord Conseil : à la barre de projets aux larges horizons.

C’est tout comme : l’efficacité de pros pour les pros

Colette & Co : un esprit frais pour de vivifiantes et impactantes images.

Comité Régional de Tourisme de Bretagne : une évasion permanente et toujours renouvelée dans les contenus éditoriaux.

Crédit Mutuel Océan : une approche participative et ouverte sur les territoires.

d15 : capable de trouver le bon cap dans des situations complexes.

S16ZE : un réseau de neurones et de compétences parfait pour les réseaux.

Verseau Communication : une énergie partagée pour le développement durable et le local.

Tarifs de rédaction : un budget ajusté

des devis toujours sur-mesure
Des devis taillés sur-mesure

Pour s’occuper des lettres, il faut aussi quelques chiffres ! Rassurez-vous, ils sont toujours taillés au plus juste. Suivant les cas :

• Devis global pour une campagne ou une opération de communication
• Devis détaillé avec les différents postes
• Forfait mensuel ou annuel pour des prestations régulières ou récurrentes (reportages, magazines, articles de blogs…)
• Forfait par support (annonce, plaquette, flyer, site One-page…). Pour vous donner une idée, une plaquette 3 volets se chiffre généralement aux alentours de 250 € HT.

Les estimations budgétaires sont toujours raisonnables. Ce sont les clients qui le disent ! Et si elles vous font tousser ou provoquent des réactions allergiques, on peut en discuter.

A la carte : services de rédaction web et print

Besoin de contenus éditoriaux pour alimenter votre communication ? De rédaction pour mettre en forme vos messages ?

Cogitatrice mixe les idées, les infos et les mots pour concevoir annonces, sites web, plaquettes, newsletter, articles de blog, catalogues, dépliants, flyers… Services de rédaction ponctuels ou accompagnement éditorial sur l’ensemble du brand content : il y en a pour tous les goûts!