La sobriété a de nombreux bienfaits. Pas uniquement sur le contenu de vos gosiers ou de vos placards. Mais aussi pour les contenus éditoriaux. Plus sobres, les textes ont l’avantage :
d’être littéralement plus légers sur nos supports numérique
de conférer davantage de crédibilité aux messages
d’instaurer une relation plus transparente
d’engendrer des actions/réactions plus responsables
de susciter plus de confiance
de comporter plus de faits, d’informations
de miser sur l’argumentation et la conviction plus que sur l’injonction.
Des textes qui ne saoulent pas
Pour susciter l’adhésion et favoriser l’action, la sobriété éditoriale doit conjuguer sens et attractivité, dire vraiment des choses, de manière agréable. Ce style est particulièrement adapté aux témoignages, aux reportages, aux guides pratiques. Il s’accorde notamment aux secteurs des services, au développement durable, à l’ESS. Relevée par des arômes naturels cueillis dans la personnalité de la marque ou par des zestes acidulés (clins d’œil au public visé), la sobriété est fortement recommandée !
La crise mondiale du Covid a rebattu les cartes touristiques. Le vélo, la marche, les grands espaces, les villages font partie des options piochées par les vacanciers fraîchement déconfinés. Et c’est une bonne nouvelle ! Cela permet le développement de services et d’activités de tourisme moins impactants pour l’environnement et les écosystèmes locaux, plus riches en expériences, plus justes pour l’équilibre des territoires.
Des contenus éditoriaux qui marchent
Quand il s’agit de communiquer sur ces destinations, services ou activités, les messages et publications se mettent à l’unisson. Pas d’annonces tapageuses mais des prises de parole tapant juste. Pas de fanfaronnades mais d’harmonieux messages. Le risque ? Que tout se ressemble. Il est donc plus que jamais indispensable de s’appuyer sur de vraies pertinences et sur des plates-formes de marque clairement identifiées, en déroulant une ligne éditoriale adaptée.
Un exemple : les séjours en itinérance sur le GR34, mis en avant sur tourismebretagne.com
Vous avez noté cette tendance créative (dans laquelle je m’inscris volontiers) qui transforme les messages publicitaires en sobres courriers ou austères communiqués ? Leclerc, Intermarché, Monoprix, Mac Do,… s’y sont mis. Comble d’ironie, ils mettent le pied (de lettre) dans un genre souvent pratiqué par les Petits Frères des Pauvres, AIDES et autres organismes caritatifs ou assos militantes. Ce style épuré, direct, a plusieurs avantages :
Il s’adresse à la raison, sans séduction détournant l’attention ;
C’est rapide à produire (je n’ai pas dit « à concevoir ») ;
C’est économique à produire et souvent à diffuser ;
A partir du moment où la lecture commence, l’implication est plus grande ;
Ce type de messages correspond littéralement à une prise de parole. Il peut signifier un engagement, voire surligner un caractère militant ;
Au milieu du flot d’images, c’est impactant, interpellant ;
Cela peut être graphiquement intéressant.
Crise de sens
Les messages écrits sont donc particulièrement adaptés dans des situations de crise. Logique donc qu’ils se multiplient en 2020. Ils sont également le signe, plutôt positif, d’une volonté affirmée de redonner du sens à la communication, d’exprimer la raison d’être, voire l’engagement des marques. Mais attention, l’opportunisme n’est jamais loin !
Pour une fois, je m’attarde sur des chiffres. Juste quelques minutes pour mieux revenir aux lettres. Ces chiffres (extraits d’une étude Orbit Media) chahutent certaines idées reçues sur la production de contenus.
La plupart des auteurs de blog galèrent 3h55 pour écrire un article d’environ 1500 mots ;
Mais il faudrait faire plus : ceux qui y consacrent plus de 4h obtiennent de meilleurs retours ;
Les articles les plus appréciés contiennent plus de 2000 mots ;
Mieux vaut scinder le texte en plusieurs paragraphes d’environ 600 mots ;
Utiliser plus de 4 visuels est conseillé ;
Se prendre la tête à trouver 10 titres pour sélectionner le bon est une garantie d’attractivité.
Ecrire. Mais quoi, comment, quand ?
A retenir : 4h de rédaction, 2 000 mots
… les contenus sont lus !
Ces tendances confirmées pour des textes longs, sources d’info pratique, s’incarnent également dans le print avec des newsletters-papier qui ressemblent à des magazines et des magazines assimilables à des revues pratiques ou scientifiques. Ces pistes éditoriales sont certes bien tentantes mais avez-vous le temps, l’énergie et l’envie de suer café et eau (sous un masque ou pas) pour remplir vos écrans blancs ? Si ça ne rentre pas dans votre agenda, ni dans vos bonnes pratiques, rassurez-vous ! Vous pouvez compter sur l’externalisation et un œil extérieur, plus ouvert, avec les free-lances. Par essence disponibles, réactifs et pros, ils n’ont attendu aucun bouleversement sanitaire ni le boum du télétravail pour faire preuve d’une belle résilience. Il y a des chances pour que vous soyez gagnant !
On fait le calcul ?
En conclusion, plutôt que de consacrer 4h de votre temps à écrire un texte répondant peu ou prou à votre identité éditoriale et à vos besoins, vous pouvez demander un contenu de plus de 2 000 mots, qui vous sera souvent remis 2 à 3 jours plus tard, facturé de 150 à 250 euros.
Crise sanitaire 2020 + Quotidien régional + tourisme local = besoin de contenus adaptés pour la promotion des territoires. Cet été, cela a entraîné la création de fiches balades, commandées par Le Télégramme et le CRT Bretagne. Leur contenu fait un pas de côté par rapport aux topoguides et autres applis de rando pour insister sur les points d’attractivité. Diffusées en ligne et en édition papier, elles participent à l’animation touristiques des territoires.
Pas (vraiment) besoin de savoir dessiner pour tracer de nouvelles perspectives avec la facilitation graphique ! Il faut avant tout une vision globale du problème et du contexte, un point de vue sur les solutions possibles et une conceptualisation de la réponse. C’est un très bon moyen pour expliquer, convaincre et fédérer, notamment en interne. Par son côté schématique, voire « croqué », il s’adresse à tous. Il s’adapte facilement à des ateliers de réflexion collective.
Transformée en infographie (avec de jolis dessins), la facilitation graphique est un outil privilégié dans les messages institutionnels destinés à modifier des usages. Exemples : les gestes barrières, la gestion des déchets, l’usage partagé de la route…
Pour une destination touristique comme pour de l’alimentation animale, le but est de concevoir des messages publicitaires uniques, pertinents et efficaces. La mission est de donner du sens à la com’ et de faire la com’ de projets ayant du sens.
Dès l’établissement du brief jusqu’à la dernière petite ligne de texte : conception de campagnes publicitaires, affiches, annonces-presse et magazine, bannières internet, flyers, spots audio, vidéo…
La pub et la comm’, vues et lues !
Conseil en ligne éditoriale : définir le bon cap !
Pour renforcer votre identité et structurer votre communication, il y a forcément un style et un ton qui vous ressemblent et vous valorisent. Bien les définir, c’est s’offrir les moyens d’intéresser vos clients !
En co-production, élaboration d’un champ lexical, d’une charte éditoriale, d’éléments de langage, d’un style graphique, de mots-clés.
Production et gestion de contenus, pour les lecteurs et les moteurs de recherche
En équilibrant qualité des contenus, pertinence des textes et référencement naturel, la rédaction web est un pilier de votre communication.
Rédaction, production de contenus multimédias pour sites web, blogs, réseaux sociaux, newsletters, e-mailing. Community management.
Communication écrite, rédaction journalistique : la force des mots !
Pour réassurer, convaincre, informer, témoigner, la communication écrite reste irremplaçable. Elle se nourrit de vos informations, d’expériences sur site, d’interviews ou de rencontres. Elle touche vos publics pour les convertir en clients ou prescripteurs.
Rédaction print de plaquettes, brochures, documents commerciaux, rapports d’activité, catalogues, éditions spéciales, dossiers thématiques, catamags…
Sur site ou par téléphone : reportages, portraits, interviews, témoignages…
Rewriting, réécriture : mettre en forme vos messages
Parfois, il suffit d’un peu d’habillage pour faire twister les textes et les rendre plus percutants !
Amélioration des titres, optimisation du référencement naturel, personnalisation des textes, structuration des articles…
Ateliers de formation
Maîtriser quelques principes et disposer d’astuces de rédaction facilitent l’alimentation de vos contenus.
Etablissement de modules de formation, animation d’ateliers d’écriture.
C’est une activité d’artisan : je travaille en collaboration avec le client, en mixant expérience, technicité et créativité.
Besoin de contenus éditoriaux pour alimenter votre communication ? De rédaction pour mettre en forme vos messages ?
Cogitatrice mixe les idées, les infos et les mots pour concevoir annonces, sites web, plaquettes, newsletter, articles de blog, catalogues, dépliants, flyers… Services de rédaction ponctuels ou accompagnement éditorial sur l’ensemble du brand content : il y en a pour tous les goûts!
…Et il y a de nouvelles manières de soigner ses contenus éditoriaux ! Avec un crayon, puis avec un clavier, maintenant sur un smartphone, nous avons eu et avons des messages à faire passer, des services à présenter, des projets à valoriser, des publics à convaincre…
Continuons ! Utilisons les nouveaux modes d’échanges pour construire des relations riches et durables ! Et même sur des sujets sérieux, inutile de se prendre la tête. La conception-rédaction et la production de contenus éditoriaux visent à enchanter votre communication ! A chaque fois uniques, les textes web et print participent à la construction de votre image et au renforcement des liens avec votre public. Des contenus de qualité, adaptés, pertinents et vitaminés, permettent de profiter de messages en pleine forme !
Google et les lecteurs sont d’accord : il faut soigner le contenu !